Bonjour à tous et à toutes, je suis très heureuse de vous retrouver pour ce nouvel article dont la thématique est le travail.

En effet, dans mes accompagnements en thérapie ou en coaching, pour rappel, je suis thérapeute et coach et j’accompagne les hommes et les femmes à se libérer de leurs douleurs psycho-émotionnelles, énergétiques ou spirituelles, nombreuses sont les personnes qui ne sont pas épanouies dans leur travail.

C’est souvent vécu, pour elles, comme extrêmement douloureux car elles ont ce fort ressenti de médiocrité allant jusqu’à la perte de sens dans leur vie.

L’oeuvre que nous faisons alors ensemble est d’éclairer quels sont leurs profonds élans du coeur et aspirations de leur âme afin d’aller vers une réalisation du soi.

Alors aujourd’hui, j’aimerai vous apporter un autre regard, un autre angle de vue sur le travail.

Une étude  faite sur plus de 155.000 employés réalisée dans 155 pays montre que dans le monde en moyenne seulement 15 % des employés sont heureux dans leur job et 18 % le haïssent activement

La France a un des pires résultats seulement 6 % des gens sont passionnés par ce qu’ils font et 25 % haïssent activement leur travail, soit 69 % qui sont dans un entre deux !

Tout d’abord, le mot travail vient du mot latin tripalium qui nomme un instrument de torture. Ça pose le décor et en dit long. En effet, être dans une forme d’esclavage afin d’assumer nos besoins clairement c’est très éloquent sur la souffrance potentielle engendrée par le travail. Ce point de vue cependant correspond à celui de la personnalité.

Aussi je vous propose de décaler votre ressenti en remplaçant le mot travail par le mot oeuvre et déjà de sentir qu’est-ce que ça fait en vous si je vous dis : à quoi vous oeuvrez dans votre vie ? Versus c’est quoi votre travail. Et observez comment et où ça vibre dans le corps pour vous.

En effet le mot oeuvre vient d’un mot en ancien Français qui signifie ouvrir.

Et l’oeuvre finalement c’est quoi ? C’est être au contact de son âme, répondre à l’appel du soi et laisser cela oeuvrer en nous en nous ouvrant toujours plus afin de produire une oeuvre et là on n’est plus dans le travail mais dans la joie expansive et vive qu’est la jubilation. Il ne s’agit plus de travailler au sens du tripalium en étant esclave du travail.

Donc l’idée, c’est de lâcher cette notion de travail en quittant les besoins de sécurité qui se trouvent au niveau du corps dans l’espace du ventre et qui sont alimentés par la peur de manquer et donc de lâcher aussi tout ce qui est en lien avec la compétitivité, la concurrence, la performance etc pour placer sa conscience et sa présence sur un autre plan celui du coeur par un retournement intérieur en passant du ventre au coeur.

Alors il va être possible de vivre sa vie complètement autrement car pour rappel l’univers répond à ce que nous vibrons en-dessous des apparences qui peuvent être trompeuses aux yeux du monde mais pas pour l’univers qui capte la réelle fréquence qui nous habite et donc si le point de départ c’est la peur du manque qui nous anime c’est ce que l’univers va nous amener et c’est valable pour tous les autres aspects qui nous font peur.

Là, en oeuvrant à partir de l’espace du coeur dans la confiance et la gratitude d’oeuvrer, nous allons pouvoir faire l’expérience directe que la vie ne nous veut pas de mal, qu’elle est accueillante, aimante et enveloppante, avec cette foi et cet abandon dans la bonté de l’univers qui répond toujours à nos besoins quels qu’ils soient : matériels, relationnels, financiers ou autres.

Alors, j’espère que cet autre angle de vue vous permettra de ressentir profondément que la vie peut être vécue complètement différemment selon si vous oeuvrez depuis l’espace du coeur versus travailler depuis l’espace du ventre.

MM

Photo : Inconnue 

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